La lutte contre les violences sexuelles et de genre, « l’autre pandémie », dénoncée avec constance tous les 25 novembre dans le monde depuis l’institutionnalisation d’une journée mondiale dédiée par les Nations Unies en 2000, monte en puissance dans l’agenda institutionnel et féministe tant en Europe que dans les pays du Sud Global. Le mouvement Me too, et l’augmentation tragique des violences durant la pandémie ou en contexte de conflits, la dénonciation de l’utilisation du corps des femmes comme arme de guerre, ont mis une lumière particulière sur cette question et fait pression sur les autorités internationales, nationales et locales pour qu’elles portent davantage d’attention et de moyens pour les faire reculer, voire empêcher les retours en arrière.
Que sait-on des chiffres qui mesurent la gravité de la situation et les réponses qui sont apportées par la justice et les institutions ? Quel lien entre les violences de genre et l’atteinte des objectifs du développement durable ?
Comment les échanges et la coopération internationale peuvent accompagner et stimuler de nouvelles avancées?
Voici les quelques questions que nous avons posées à nos experts.
Economiste spécialiste des questions de violences de genre, experte programme EUROSOCIAL+
Chercheuse à la division sur les questions de genre, Cepal
Directrice exécutive, réseau RIRE
Directrice exécutive, ONG Equipop
Cheffe du projet Nengo, Fondation pierre Fabre
Fondatrice et directrice programme Al-shehab
Avocate tchadienne, spécialiste en lutte contre les violences de genre en milieu scolaire
Chargé de missions, formateur-consultant sur les questions de genre et masculinité, ONG « le monde selon les femmes»
Facilitateur masculinités, ONG graines
modérateur
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